Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Dans le champ large de « l'éducation entrepreneuriale » ou « l'éducation à l'esprit d'entreprendre », deux acceptions de l'entrepreneuriat sont généralement admises et font l'objet de ce dossier.
La première acception renvoie au monde économique et conçoit l'entrepreneuriat en lien avec la création d'entreprise, d'emploi et de valeur. On vise soit à développer des connaissances relatives à l'entrepreneuriat chez les jeunes, soit à développer leurs habiletés de création et de gestion d'entreprise. L'entrepreneuriat est alors considéré comme un objet d'apprentissage en soi.
La seconde acception, plus large, renvoie davantage au développement de la personne. On vise à développer une culture, des valeurs propres à favoriser un ensemble de caractéristiques personnelles chez les jeunes, dont l'autonomie, la proactivité et le sens de l'initiative . On parle alors de former des individus plus entreprenants dans la vie en général ou encore de développer l'esprit d'entreprendre des jeunes. L'entrepreneuriat est ici considéré comme un outil d'apprentissage. Des concepts apparentés ont émergé en parallèle comme l'entreprise de soi, dans le champ du développement professionnel , ou le pouvoir d'agir (empowerment), dans le champ des pratiques sociales.
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