80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« [...] C'est toujours un chouette moment que d'arriver au terme d'un ultra. Mais les plus beaux km sont ceux qui précèdent, les 10 ou 20 derniers ou les dernières heures sur une course horaire, le moment où l'on sait que l'on va parvenir à notre but, à notre objectif. Et là, tout devient plus facile et l'on commence à se sentir sur notre petit nuage, on touche à l'ivresse du bonheur, on se sent immortel, on est aux taquets au niveau dopamine, une douce euphorie, encore et encore ! C'est pour ces moments-là que je cours, moments qui durent également plusieurs jours après l'arrivée jusqu'à s'estomper petit à petit avant de laisser place à un souvenir indélébile. Et là, on se dit : « Vivement la prochaine ! » . [...] » (Philippe Pollesel)
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