L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Et le monde, qui faisait horreur et effroi, est à présent congédié. Il ne reste de lui que la grande plage anonyme et plate d'un sol et d'une cloison - ce qui reste du désert quand la nature a été annihilée ».
Ces mots, tirés de la préface de Claude Louis-Combet, décrivent à la fois le décor et le propos des photographies de Natacha Nikouline. Le contexte se résume chez elle à l'essentiel (une lumière en douche, froide, sans complaisance, des murs nus) pour mieux laisser place au langage silencieux de douleurs en chute : les seuls sujets sont des corps agités de soubresauts silencieux, anonymes et sans visages. Figé, émoussé, la tête vide est une monographie de Natacha Nikouline, entre livre et portfolio, qui présente plus d'une trentaine de photographies en grand format. Une carte postale de Nature Morte, glissée entre les pages, leur apporte un contrepoint étrangement coloré.
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