80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« J'ai devancé le cortège qui te portait trop lentement.
Mon sang coule encore vers ton océan, ta souffrance me navigue sur une vague de perles tumultueuses.
Ta rancoeur laisse des cicatrices sur mon cou pendant que toi, le pendu, tu te fixes une place dans le cinéma réincarné. » Depuis 1982, avec « Fièvre de nos mains », Rose Després bâtit une oeuvre poétique dense qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs.
Commentant la parution en 2000 de « La vie prodigieuse », Maurice Raymond affirme que « [l]e lecteur, lisant les recueils à la suite, a nettement l'impression d'assister à la naissance d'une écriture (et d'un poète), du désengluement amniotique à l'affirmation de soi. [...] Spectacle exemplaire s'il en est, affirmant les modalités de l'ordre et de la forme sur celles du chaos, les réalités connexes de l'ouverture et de la liberté sur celles de l'étroitesse et de l'asservissement. » (Éloizes, automne 2001) Les quatre premiers recueils de Rose Després, ici réunis, sont présentés par David Lonergan. La publication comprend une biobibliographie et un choix de jugements.
Acadienne engagée dans les milieux artistique et culturel de Moncton, ROSE DESPRÉS a remporté le prix Antonine-Maillet /Acadie Vie pour « La vie prodigieuse », et le prix Éloize pour « Si longtemps déjà ».
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