"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Beaucoup d'internés de la Grande Guerre comme Fernand Barbier ont rencontré ou écrit à leur retour combien ces quatre années avaient été particulièrement dures à supporter. Ce médecin-major de 2e classe a choisi pour laisser son message à a postérité, la peinture et le dessin. À travers le regard du peintre, nous pouvons voir et sentir la souffrance de ces hommes enfermés à Güstrow, en Poméranie. Le sujet des prisonniers est rarement abordé par les historiens de la Grande Guerre, pourtant leur nombre a été considérable, mélangeant civils et leurs familles, dans des conditions d'installations extrêmement mauvaises, comme le montre les dessins l'arrivée à Güstrow : des tentes posées sur des marécages et surveillées par de miradors. Le docteur Rigollot-Simonnet, prisonnier au même camp en fait le même constat.Â
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