80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
À un visiteur qui lui demandait ce qu'était la vocation monastique, un Père Abbé répondit : « Le moine est un enfant qui chante et qui joue. » Dom Gérard aimait cette parole. Et il voulait que ses moines rejoignent ce Dieu plein d'invention et de joie qui a fabriqué l'aurore et le soleil. C'est pour nous convier à pareille fête que, dans la continuité des articles du premier tome, il déroule ici à nouveau devant nos yeux comme une lumineuse fresque de l'harmonie catholique du vrai, du beau et du bon. Dans sa préface, Bernard Antony nous invite non seulement à lire ces textes, mais aussi à les faire découvrir à tous ceux qui ont une vision tronquée du catholicisme et croient aimer Dieu parce qu'ils n'aiment pas les hommes ; à tous ceux qui, sans toujours en avoir conscience, ont soif de Dieu.
Dom Gérard ne doutait pas que, grâce à une Église revivifiée dans tous les ordres de la charité, de la vérité et de la beauté, renaîtrait une chrétienté adaptée à notre temps et qui triompherait de la culture de mort. Et dans son inoubliable sermon aux pèlerins de Chartres, il en évoquait la dynamique : « énergie intelligente et inventive, prière traduite en action, utilisation de techniques neuves et hardies ». Il rappelait surtout que « la chrétienté, c'est l'ordre temporel de l'intelligence et de l'amour soumis à la très haute et très sainte royauté du Seigneur Jésus »..
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année