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La littérature kabbalistique compte peu de traités posant des fondements métaphysiques et théologiques permettant de réunir la Kabbale et l'Alchimie.
Toutefois, un texte, l'Esh métgaréf (le feu de l'alchimiste), écrit entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe, par un kabbaliste juif italien, établit cette mystérieuse et difficile relation. L'original, écrit en hébreu ou en araméen, est perdu. Mais, Christian Knorr von Rosenroth (1636-1689) en possédait un exemplaire, dont il a reproduit la majeure partie dans son oeuvre latine intitulée Kabbala denudata seu doctrina Hebr?corum transcendentalis et metaphysica atque theologica.
Les trois volumes de cette oeuvre ont été imprimés à Sulzbach, par Abraham Lichtenthaler respectivement en 1677, 1678 et 1684. L'Esh métgaréf est un surprenant compendium kabbalistique sur la dimension transcendantale des mystères alchimiques. Il révèle une subtile relation entre la signification symbolique des métaux et la dimension spirituelle des dix séfiroth. La signature kabbalistique de ce traité apparaît à travers une large utilisation de la guématria et de carrés magiques pour chacun des métaux.
Cette nouvelle traduction proposée, par Georges Lahy, est basée sur le texte latin de von Rosenroth, contenue dans le volume 1 de la Kabbala denudata. Enrichi de nombreuses annotations, le texte retrouve ainsi sa dimension hébraïque.
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