Trente-neuf lettres composent ce récit épistolaire. Elles invitent l'amie imaginaire à qui elles sont adressées à parcourir les rues de Paris, ses passages insolites, ses immeubles où le lecteur se perd dans un dédale d'escaliers et de couloirs, à se recueillir devant la cathédrale blessée. Elles l'emmènent au Tréport où l'austérité des falaises, la solitude de son phare et la rigueur du climat contrastent avec les jeux de plage, la pêche à la crevette et les éternels châteaux de sable. Entre ces lieux, viennent se glisser des rêves qui puisent leur inspiration dans des souvenirs d'enfance. Parmi ceux-ci, les berges du canal de l'Ourcq, la voie ferrée sur laquelle passent, comme le temps, d'inoubliables trains.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
