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Qui pense le son au cinéma ?
Personne vraiment. Aucune école pour inclure dans ses enseignements un questionnement sur les conditions d'existence du sonore, nulle approche des formes qui serait enseignée aux élèves réalisateurs, aux monteurs, ou même aux étudiants du son, encore moins aux producteurs.
Aucune mise en perspective historique des formes sonores existantes n'est offerte à ceux qui vont devoir oeuvrer à l'apparition de cet objet artistique visible et audible : le film.
On se contente d'analyser les conditions d'existence technique du son et on essaie de produire un « bon son » - c'est-à-dire un son conforme.
Pourtant, le sonore est, non moins que le visible, susceptible de création et d'invention.
C'est ce que nous montre Daniel Deshays qui, prolongeant ici la réflexion entamée dans Pour une écriture du son (« 50 questions »), propose de repenser la place du son, afin de combattre son uniformisation planétaire au cinéma.
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