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Ennio Morricone ou le poison d'une oeuvre

Couverture du livre « Ennio Morricone ou le poison d'une oeuvre » de Gregoire Philippe aux éditions Marie B
  • Date de parution :
  • Editeur : Marie B
  • EAN : 9791093576770
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Ennio Morricone : Il suffit de siffloter les cinq premières notes de « Le bon, la brute et le truand », de « Le clan des siciliens » ou encore de : «Mission » et nous sommes plus d'un milliard d'êtres humains à connaître la suite. Ce compositeur a été rendu célèbre grâce aux musiques de films... Voir plus

Ennio Morricone : Il suffit de siffloter les cinq premières notes de « Le bon, la brute et le truand », de « Le clan des siciliens » ou encore de : «Mission » et nous sommes plus d'un milliard d'êtres humains à connaître la suite. Ce compositeur a été rendu célèbre grâce aux musiques de films issues de sa fertile collaboration avec Sergio Leone. Cependant les westerns ne représentent qu'environ 10% des 355 longs-métrages qu'il a musicalisés.
Aucun compositeur classique contemporain n'a proposé de son vivant autant de morceaux passés à la postérité. En Italie, son pays d'origine où il a toujours vécu, Ennio Morricone, couramment appelé « Il Maestro », est souvent comparé à Verdi ! En 2007, Hollywood lui décerne un Oscar et en 2016, une Etoile sur le Hollywood Walk of Fame.
De sa vie privée comme professionnelle, en réalité, on ne sait que peu de chose. L'homme était assez secret et répondait avec parcimonie aux très nombreuses sollicitations de la presse. Et quand il y consentait, c'était toujours en laissant des blancs, en répondant par des silences ou bien en refusant d'aborder certains aspects. Cinq années (de 1965 à 70) lui ont suffi à bâtir sa réputation mondiale. Il avait pourtant rencontré la musique de films un peu par hasard, et considérait cette partie de son travail comme « un poison » dont il fallait se défaire, y compris en passant par « une phase de désintoxication » !
Car ce célébrissime et si discret compositeur consacrait l'essentiel de son temps à la musique classique (dite de chambre ou symphonique) qu'il plaçait plus haut que tout.
Son drame fut de n'être reconnu que pour les nombreux films dont il a conçu la bande sonore. Aucun ouvrage de référence n'avait jusqu'ici été consacré au Maestro.
Au terme d'une enquête minutieuse d'une dizaine d'années, Philippe Grégoire, avec une empathie qui ne se dément jamais, décrypte le travail du Maître, en livrant des clés de compréhension inédites.

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