Le grand philosophe juif, Emmanuel Lévinas, est décédé il y a moins de vingt ans. Quelle a été l'influence du judaïsme sur son oeuvre ?
En tant que directeur de l'École Normale israélite orientale (ENIO), quelle relation de maître à élève a-t-il déployé ? En tant que Juif, de quelle façon envisage-t-il possible la relation entre les hommes et Dieu ?
En quoi la pensée d'Emmanuel Lévinas sur l'humanité du visage prend-elle sa source dans les textes hébraïques et quelle position originale a été celle du philosophe juif vis-à-vis de l'humanisme et dans sa tension entre Athènes et Jérusalem ?
Le colloque qui s'est déroulé à Reims le 24 novembre 2013 s'est proposé de répondre à ces questions avec les interventions d'Ariane Bendavid Maître de Conférences à l'Université de Paris-Sorbonne, Paris IV, Dominique Bourel Directeur de recherche au CNRS Centre Roland Mousnier (Sorbonne), Marie Dahan professeure des Écoles et élève d'Emmanuel Lévinas, Rébecca Maquin chercheure en littérature comparée et Dominique Silland professeure d'histoire et de géographie.
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