Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Ce livre, est un état des lieux des différentes « suertes », ces figures essentielles que réalise le torero au cours d'une corrida. Il existe les « suertes » principales, par exemple, la manoletina, qui a ses caractéristiques propres, mais cette suerte, ce mouvement, repris par José Tomás, sera légèrement différente et alors on peut agrandir l'horizon, et créer une nouvelle sorte de figure.
C'est ce que fait José Luis Ramon, il part des trois suertes premières (la verónica, el natúral et la suerte suprema) et il va définir jusqu'à treize suertes, fondamentales, en décrivant leur origine et leur évolution.
C'est-à-dire qu'il réalise un pari un peu fou : recenser et décrire un patrimoine fluide et vivant de gestes tauromachiques, de mouvements de cape en somme, dans leur pureté, leur sens, leur caractère éphémère et leur infinie diversité. Il s'aide pour cela de plus de 300 photos et d'une langue claire et précise.
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