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Du vivant des gueux

Couverture du livre « Du vivant des gueux » de Archibald Aki aux éditions Les Venterniers
Résumé:

C'EST UNE POTION POUR DEVENIR PLUS JEUNE ET MOINS LAID QU'ARCHIBALD AKI, DANS CE CONTE DE L'ANARCHIE TENDRE, NOUS A CONFIÉE. ENTENDEZ BERNARD, BOHÉMIEN SANS LE SOU, PETIT LOUBARD AU COeUR D'ENFANT, REPÊCHÉ ENTRE DEUX VAGUES, VAGABOND LUNAIRE CONTEUR POUR LE VERRE ET CONTÉ DANS LES VERS, BERNARD... Voir plus

C'EST UNE POTION POUR DEVENIR PLUS JEUNE ET MOINS LAID QU'ARCHIBALD AKI, DANS CE CONTE DE L'ANARCHIE TENDRE, NOUS A CONFIÉE. ENTENDEZ BERNARD, BOHÉMIEN SANS LE SOU, PETIT LOUBARD AU COeUR D'ENFANT, REPÊCHÉ ENTRE DEUX VAGUES, VAGABOND LUNAIRE CONTEUR POUR LE VERRE ET CONTÉ DANS LES VERS, BERNARD OU L'AMOUR FOU DE LA POÉSIE ET DE LA VIE...

Tout en assonances, allitérations, jeux de mots et calembours, le texte Les déboires de Bernard n'était qu'une petite chansonnette à pousser dans les bars et se voulait un hommage sincère, émouvant et rigolo à ces poètes du peuple que sont Prévert, Chaplin, Lapointe, Rabelais, Rictus, Coutet ou Brassens... Puis vinrent les premiers dessins... Du loubard qui happe la lune au lasso (clin d'oeil à Frank Capra, autre poète humaniste de l'image) aux Gueux, affalés sur le comptoir, regards noyés dans le fond de leurs verres, l'illustration est venue alimenter les lettres. Comme un serpent qui mord sa propre queue, le mot et l'image, puis bientôt la scène, se sont mis à dialoguer sans cesse, pour aboutir, après quelques années de travail, à ce roman en alexandrins, cette chanson de geste moderne, cette intime fresque épique dédiée aux ramoneurs de rien du tout (Prévert), aux « pauvres Martin » (Brassens), aux « bohémiens de ma rue » (F. Leclerc), et autres « gars qu'ont mal tourné » (G. Coutet)... Du Vivant des Gueux est né dans la rue, sur le pavé chantant, a poussé dans les bistrots, sur le zinc enivrant, se posant tantôt sur les tréteaux virevoltants de commedia, tantôt sur les scènes plus intimistes de petits théâtres parigots, ceux-là qui ne mettent pas trois « e » à la fin du mot « théâtre »...

80 PAGES QUI PARFOIS S'OUVRENT EN GRAND (pour donner à voir les dessins réalisés par l'auteur, DES TITRES À RALLONGES, DES GUILLEMETS PAS FERMÉS...

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