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À l'heure du sécularisme et du pluralisme éthique, nous n'avons plus de normes morales communes d'action ni de fondement unanime de ces normes en raison d'anthropologies différentes. Il importe donc de mettre des balises sur le sens des mots tout d'abord : quand nous parlons de transplantation ou de don d'organes, tout le monde entend-il la même chose ? Organes vendus par des pauvres ? Organes d'embryons, de foetus ou de ceux qu'on appelle enfants-médicaments ?
Derrière les mêmes expressions, peuvent se cacher des réalités très différentes.
L'autre boussole est de bien comprendre l'enseignement de l'Église sur le sujet.
Cet ouvrage est donc parti de l'existant du don d'organes, (autogreffe ou greffe autoplastique, homogreffe, greffe homoplastique ou homologue, et xénotransplantation ; don ex-mortuo et don ex-vivo). Il présente ensuite les critères de licéité (gratuité, anonymat, consentement éclairé) tout en abordant les problèmes de la détermination de la mort, du consentement et du trafic d'organes. Le sujet est approfondi à l'aide de trois théologiens moralistes catholiques. L'italien D. Tettamanzi (autorité dans le monde de la bioéthique et au Vatican et en Italie), l'américain J. M. Haas, (ère anglo-saxonne) et M.-J. Thiel, (française). Pour l'essentiel, chacun de ces théologiens est dans l'orthodoxie de l'enseignement de l'Église.
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