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Documentaliste sciences de l'information volume 48. n. 3 septembre 2011 : acces a l'information - les

Couverture du livre « Documentaliste sciences de l'information volume 48. n. 3 septembre 2011 : acces a l'information - les » de  aux éditions Adbs
  • Date de parution :
  • Editeur : Adbs
  • EAN : 9782756204390
  • Série : (-)
  • Support : Revue
Résumé:

Repenser la viabilité de la chaîne documentaire n'implique pas nécessairement de revenir à l'imposition de limites à la circulation, au partage, à la réutilisation et à l'enrichissement collectif des connaissances. Le nouveau dossier de Documentaliste - Sciences de l'information éclaire cette... Voir plus

Repenser la viabilité de la chaîne documentaire n'implique pas nécessairement de revenir à l'imposition de limites à la circulation, au partage, à la réutilisation et à l'enrichissement collectif des connaissances. Le nouveau dossier de Documentaliste - Sciences de l'information éclaire cette nouvelle ligne de partage ténue entre tenants des modèles économiques actuels et ceux qui privilégient l'accès aux documents. Pour qui a connu la « guerre du gratuit » au tournant du siècle, les dernières nouvelles en provenance de l'infosphère peuvent sonner comme un remake peu inspiré. Accès gratuit, abonnement, publicité, paiement à l'acte... autant de termes qui ont émaillé ces dix dernières années. Et pourtant, que d'évolutions depuis la bulle Internet. Des géants comme Google ou, dans une moindre mesure, Facebook ont développé et fortifié leur assise financière sur des niches très étroites mais très rémunératrices (liens publicitaires) tout en continuant de proposer à la grande masse des internautes des services toujours plus performants... et gratuits. « On » cherche à « monétiser » les contenus créés ou enrichis par les internautes. Contre quelques euros mensuels, la musique s'écoute en streaming sans support ni entrave. L'information scientifique et technique développe ses propres dispositifs pour concurrencer l'édition traditionnelle. Bref, des services se développent, certains s'enrichissent mais, plutôt que d'opposer gratuit et payant, les acteurs du domaine ont compris que la clé résidait dans leur juste combinaison. En outre, au-delà de cette légitime recherche de retours sur investissement, la notion émergente de « bien commun de la connaissance » rappelle toute l'importance de conserver, voire de développer, une activité « non marchande » autour de l'information. Pour le bien de tous.

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