On sait que le corpus de croyances qui constitue la religion romaine antique est compris généralement comme un code de pratiques capable de susciter tout au plus le scrupule formaliste et d'où tout sentiment religieux semble absent. Pourtant, les déplacements, changements et innovations observables en mille ans et dans un espace dilaté au pourtour méditerranéen ont constitué autant d'occasions d'appropriation des moyens de contact avec les dieux d'en haut. Au terme de cet ouvrage, qui s'attache à certains, on sera invité à réévaluer la pertinence de l'image formaliste traditionnelle, que Nicole Boëls, à qui sont offertes ces réflexions, a toujours rencontrée dans ses travaux.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
