Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
Au Mali, après l'institution de l'AMO par la Loi, sa gestion a nécessité la mise en place de la CANAM. Deux ans après l'entrée en vigueur de la Loi, l'AMO a été rejetée par certaines catégories socio-professionnelles dont les enseignants du supérieur. Leur Syndicat, a exigé et obtenu du gouvernement le remboursement des sommes prélevées et l'arrêt de prélèvements chez ceux qui ne veulent pas de l'AMO. Notre étude s'est intéressée aux raisons du rejet de l'AMO par les enseignants. Des entretiens individuels ont eu lieu avec les différents acteurs dans leurs structures. L'approche méthodologique a été essentiellement qualitative. Les résultats attestent l'existence de deux motifs principaux du rejet de l'AMO, d'une part l'obligation d'assurance et d'autre part la méfiance à l'égard de l'organisation du système. De manière annexe la complexité du système d'affiliation des ayant droits, la limitation de la couverture aux soins prodigués sur le territoire renforcent la méfiance à l'égard du système et enfin la rivalité entre les acteurs sociaux. L'étude a fait une série de suggestions et recommandations visant l'amélioration du contenu de la Loi et du suivi de la mise en place de l'AMO.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
En 2024, ces auteurs et autrices nous émerveillent plus que jamais !
Des livres documentaires passionnants et ludiques pour les 7 à 11 ans
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée