"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Si vraiment Dieu est entré dans le cours du temps par l'Incarnation, alors le temps porte en lui l'éternité. Cette bonne nouvelle vécue et annoncée par les chrétiens du premier millénaire a été obscurcie au cours du second lorsque le christianisme s'est englué dans l'organisation sociale : le temps a perdu son enchantement de « vie éternelle déjà commencée » pour devenir une laborieuse « préparation à la bonne mort » ; les icônes de la lumière et de la joie ont cédé la place aux austères crucifix ; en dépit des mystiques qui n'ont cessé de fleurir au cours des siècles, le moralisme et la religion ont compromis la bonne nouvelle de Jésus jusqu'à la faire rejeter comme un « opium du peuple ».
Qu'est-ce que le temps ? Comment lui donner son poids d'éternité ? « Tout ce qui n'est pas de l'éternité retrouvée est du temps perdu » disait Gustave Thibon. Comment faire goûter la bonne nouvelle des sacrements qui sont les portes de la vie éternelle ? Comment renouer avec une pastorale de la joie et de la patience à l'image d'un Dieu qui a le temps ? Comment vivre de sa miséricorde qui prend son temps et se réjouit des petits pas ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !