80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Lorsque Kathe Burkhart retrouve, dans le grenier de sa tante Grace, les lettres d'une certaine Kate Gibson, elle décide d'endosser le rôle de « l'écrivain fantôme », et de réécrire les réponses manquantes de Grace. Ainsi reprend vie une correspondance, mi-réelle mi-rêvée, où l'onirisme se coule dans le silence des lettres perdues. Deux jeunes femmes vont vivre à travers ces missives une amitié romantique, un amour romanesque. Ces lettres sont pleines d'une ardeur retenue et d'un amour qui n'ose dire son nom. L'expression de leur tendresse l'une pour l'autre va aussi loin que leur permettent l'époque et le lieu : le Sud au tournant des années 30, où le souvenir de la guerre de Sécession reste vivace, et où les effets de la Crise se font durement sentir. Avec ce roman épistolaire d'un genre nouveau, Kathe Burkhart nous fait entrer avec délicatesse dans l'intimité d'une relation entre deux femmes, vécue pour rester secrète.
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