Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
« L'Esprit de Porportuk » (The Wit of Porportuk)... « Braise d'Or » (Flush of Gold)... « Une Méchante Femme » (A Wicked Woman) : trois nouvelles, trois destins féminins. Les portraits de femmes sont une denrée plutôt rare dans l'univers assez viriliste de Jack London (1876-1916). Dans les quelques récits qu'il leur a consacrés, elles connaissent souvent un sort peu enviable, qu'il s'agisse de la jeune héroïne indienne de « L'Esprit de Porportuk » ou du personnage central de « Braise d'Or ». Une cruauté à peine compensée par la candeur et l'innocence de la jeune Loretta dans « Une méchante femme ». Trois textes à découvrir pour se faire une idée de la place qu'occupaient les femmes dans l'imaginaire de l'auteur de « L'Appel de la Forêt » et de « Croc-Blanc ».
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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