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Les sciences naturalistes qui se pratiquent en plein air - botanique, ornithologie, entomologie, mammalogie... - sont virtuellement ouvertes à tous. Dépassant le stade du dilettantisme ou du simple plaisir, certains en font une véritable passion. Y consacrant parfois des journées entières, il leur arrive même d'être reconnus comme d'éminents spécialistes par les institutions académiques. À l'heure où, sous l'égide des multiples " problèmes d'environnement " (réchauffement climatique, apparition de nouvelles pandémies, érosion de la biodiversité...), la connaissance de la nature prend une nouvelle importance, cet essai porte un regard neuf sur ces profanes amateurs dont la présence sur le terrain est souvent décisive. Mêlant approches historiques et contemporaines, les contributions réunies dans cet ouvrage décrivent et analysent les multiples formes d'alliances passées entre chercheurs, professionnels et amateurs. Elles espèrent par là donner conscience à nos contemporains que la recherche scientifique, pas toujours " dans sa tour d'ivoire ", peut aussi être démocratique.
Florian Charvolin, politologue et sociologue au CNRS, spécialiste des politiques publiques d'environnement, se consacre plus particulièrement à la sociologie des sciences naturalistes. André Micoud, sociologue au CNRS, s'intéresse depuis plus de trente ans aux changements des rapports à la nature. Lynn K. Nyhart, historienne, est professeur à l'université Wisconsin-Madison (États-Unis).
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