"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce récit est un acte d'espérance et une sévère mise en garde contre les tentations totalitaires de notre temps.
Nikita Krivochéine est né à Paris en 1934 dans une famille de la noblesse russe ayant fui le communisme. En 1948, Nikita rejoint l'URSS avec ses parents qui pensent retrouver une Russie apaisée.
Il est arrêté en 1957, coupable d'avoir envoyé au journal le Monde une chronique sur l'intervention soviétique en Hongrie. Il est à son tour envoyé dans les camps après avoir passé de longs mois dans les prisons du KGB.
En 1971, il peut enfin revenir en France grâce à l'intervention personnelle du président Pompidou. Il effectue alors une carrière d'interprète auprès de différentes organisations internationales.
Des miradors à la liberté constitue un témoignage exceptionnel de l'un des derniers survivants du goulag soviétique, comportant notamment un écrit inédit de Soljénitsyne dont Nikita Krivochéine fut l'interprète et l'ami.
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