Géraldine et Alain traversent l'océan pour parfaire leur savoir, refusant l'assimilation afin de garder leur identité. Ils vivent avec fierté dans l'humilité, dans la simplicité, partageant avec les autochtones parisiens des relations amicales et conviviales.
De retour dans leur île après plus de dix ans d'absence, tous deux demeurent des Guadeloupéens, avec tout leur héritage « psycho-transgénérationnel ». Ils cherchent à améliorer celui-ci pour le grand bénéfice de leurs enfants à venir, sans jamais glisser dans un exotisme absolu. Ce roman décrit un monde subtil de l'existence.
La force didactique de ces lignes réside dans leur saga, les repères historiques et les nombreuses références culturelles.
Max Edinval fut bercé par une mère très attentionnée qui lui transmit l'amour des lettres, des mots, du verbe. L'envie de rédiger toujours présente à son esprit, il transforme avec ravissement ses rêves en romans. Observateur apparemment naïf, c'est un altruiste qui traduit sa sensibilité à travers le comportement de tous ses personnages.
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