80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Jusqu'au siècle dernier, le décrottoir faisait partie des civilités et du rituel de l'entrée des édifices publics comme de l'entrée dans l'habitat individuel. On s'y essuyait la semelle au retour des flâneries dans la capitale boueuse ou des bois environnants. Ce petit accessoire dont il ne reste souvent qu'un trou au pied de la porte d'entrée raconte l'histoire de nos trottoirs, des promenades urbaines, des petits métiers comme celui du décrotteur, l'histoire d'un morceau d'architecture aujourd'hui considéré comme petit patrimoine à sauvegarder. Si l'on rencontre des décrottoirs aussi bien aux États-Unis qu'en Afrique, l'abondance de la moisson photographique présentée montre que Bruxelles est l'une des seules capitales européennes à offrir un si large éventail de ces ustensiles du temps jadis.
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