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Le déclin cognitif, initiant la démence, est une épreuve personnelle et familiale majeure : cette maladie fait perdre insidieusement son identité à la personne qui devient un fardeau pour ses aidants. Près de 50 millions de personnes sont affectées dans le monde. Elles seront sans doute 130 millions en 2050. Le Québec et la France, aux populations vieillissantes, sont sévèrement affectés. Mais le chemin s'éclaire : il est déjà possible de prévenir, de retarder, voire de guérir 35 % des démences, notamment de cause métabolique, comme le diabète et l'obésité.
Ce colloque franco-québécois de l'Académie nationale de médecine a exploré les données épidémiologiques, les mécanismes unissant diabète, obésité et démences (maladie d'Alzheimer, démences vasculaires, troubles cognitifs d'origine métabolique...), les autres facteurs pouvant être en jeu (troubles de l'odorat, de l'audition, de l'appétit, le microbiote, les antécédents de cancer, la mauvaise observance thérapeutique dans certaines affections comme le diabète).
Quels sont les techniques d'imagerie et les biomarqueurs permettant d'évaluer les troubles cognitifs et métaboliques ? Prend-on assez en compte les pathologies mixtes, dont la fréquence est de mieux en mieux connue ? Où en est la recherche fondamentale ? La modélisation pré-clinique ? Quelles sont les nouvelles perspectives de traitement ?
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