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On oppose trop souvent Moyen Âge et Renaissance. Mais sont-ils à ce point séparés et opposés ? Quatre oeuvres de deux artistes renaissants, Piero della Francesca et Vittore Carpaccio, nous prouvent que non. Une immersion inédite dans l'art des XVe et XVIe siècles.
Les peintres de la Renaissance se sont-ils vraiment totalement affranchis de l'héritage religieux du Moyen Âge ? À cette question, Éric Palazzo répond en affirmant que la théologie et la liturgie sont toujours ancrées dans la pensée et l'imaginaire culturel de l'époque. Impossible donc de postuler une stricte séparation entre la période médiévale et la Renaissance.
Pour le prouver, il procède à l'exploration approfondie de quatre peintures de ces deux artistes : La Vision de saint Augustin pour Carpaccio et La Flagellation du Christ, La Résurrection et La Vierge à l'enfant dite Senigallia pour Piero della Francesca. Il montre ainsi que le portrait spirituel y est élaboré à partir de ce que l'on peut appeler l'oeil médiéval des deux peintres.
Pour une approche renouvelée de Piero della Francesca, de Vittore Carpaccio, et de la Renaissance.
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