80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
À partir de ces constats, dessinant une paix aux contours fragilisés voire chahutés, il est proposé que le politique reprenne avec force l'initiative.
Dépassant le stade de la globalisation pour rejoindre celui d'universalisation du monde, il proclamera solennellement l'existence et la reconnaissance d'une " commune humanité " comme valeur mondiale partagée. Il s'agit là pour le XXI ème siècle de faire le pan de la confiance en une humanité commune forgeant l'unité dans le respect de la pluralité des cultures et de la diversité des territoires, formant ainsi un véritable antidote à la défiance/méfiance qui conduit le monde vers les violences, les inégalités, la destruction.
De ce parti-pris politique, point de départ d'un passage de la globalisation à l'universalisation, en découlent 4 types de propositions : Reconnaître le travail comme un point d'entrée obligé, un pilier sur lequel se construit la justice sociale au point d'élever le " travail décent " au statut de bien public mondial ; Accompagner la mutation des acteurs du travail en renforçant et encadrant les expériences de responsabilité sociale des entreprises (RSE) ; Favoriser l'émergence d'un nouveau modèle entrepreneurial qui fasse référence au niveau international, prenant appui sur les initiatives encore isolées du social business ; Promouvoir une forme remodelée de gouvernance mondiale investie d'une autorité dont la crédibilité se verra renforcée par son ouverture aux pays pauvres, qui garantisse à tout homme des conditions de vie dignes, proportionnées à la condition générale de son pays ou de sa région.
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