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De Henri à Jean William : six courtes comédies

Couverture du livre « De Henri à Jean William : six courtes comédies » de Alain Knapp aux éditions Lansman
  • Date de parution :
  • Editeur : Lansman
  • EAN : 9782807103344
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Au départ il y avait juste l'envie d'écrire un texte court à la suite d'une scène dont j'avais été le témoin. S'amuser du monde tel qu'il va. Cette pièce a été lue. Puis jouée. Et le public y a trouvé du plaisir. D'autres situations, d'autres observations, d'autres pièces sont venues s'ajouter à... Voir plus

Au départ il y avait juste l'envie d'écrire un texte court à la suite d'une scène dont j'avais été le témoin. S'amuser du monde tel qu'il va. Cette pièce a été lue. Puis jouée. Et le public y a trouvé du plaisir. D'autres situations, d'autres observations, d'autres pièces sont venues s'ajouter à cette première expérience. Et plus j'avançais dans l'aventure de ces créations, plus je trouvais des raisons non seulement de la poursuivre mais aussi d'essayer de comprendre d'où venait la joie que j'y trouvais à chaque fois. Les pièces courtes ne sont pas des écrits au rabais. Le petit format n'est pas un genre mineur. Les plus grands en ont fait des chefs-d'oeuvre. Ici on ne tourne pas autour du pot. Pas de temps à perdre. Tout fait acte. Les personnages sont d'emblée en situation d'agir. Le public est capté à l'instant même. A l'origine de mes courtes comédies trois fois rien : un simple geste, une phrase peuvent être le point de départ d'une succession de causes et d'effets révélateurs de comportements singuliers. Il s'agit d'inventer à partir de l'ordinaire, de le rendre particulier. S'appuyer sur le familier pour en montrer l'étrangeté. Mes pièces sont des courtes fables, des sortes d'apologues comiques où les personnages expriment des contradictions. Au théâtre, le comique vient presque toujours de l'étrange insistance des protagonistes à se mettre eux-mêmes dans l'embarras. On rit de la manière avec laquelle ils s'emberlificotent dans leurs inconséquences. C'est cette absence de prise sur le réel qui me fascine et me pousse à l'écriture. (Alain Knapp)

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