"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Johannesburg est une ville fragmentée. Ses différentes parties ne s'intègrent pas de façon homogène.
Et elle porte un nom qui ne se prononce pas facilement. Il n'est pas surprenant que les habitants de ses fragments, qui sont terriblement divisés en termes de classe, de culture, et en particulier de race, aient leurs propres noms, surnoms, élisions, diminutifs et translittérations linguistiques pour la nommer. Le «nom principal» est TJ, mais vous avez peu de chances de l'entendre dans la rue ou de le lire dans un guide. Il provient de notre vieux système d'immatriculation des voitures. (de l'introduction de David Goldblatt) David Goldblatt est un photographe sud-africain né en 1930. Issu de la classe moyenne blanche de la banlieue de Johannesburg, il s'intéresse très tôt à la photographie et commence sa carrière comme photographe de presse. «I regard myself as an unlicenced, selfappointed observer and critic of South African society which I continue to explore with the camera». Son oeuvre est entièrement dédiée à l'histoire de son pays, du début des années 1950 à aujourd'hui. Son travail est remarquable pour son esthétique, qui a su se renouveler au fil des années, conjointement à l 'évolution de l'histoire de l'Afrique du Sud.
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