80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cet essai explore le lien entre vulnérabilité, dépendance, violence et pouvoir, notamment à partir d'enquêtes ethnographiques menées sur des conflits vil- lageois en Nouvelle-Calédonie et sur une milice paysanne au Katanga, mais aussi de l'analyse de textes anthropologiques, philosophiques et littéraires.
L'auteur présente une anthropologie politique renouvelée : de la violence, de la pré- dation, du capitalisme, interrogeant la fragilité de la reproduction sociale ainsi que nos rapports avec l'environnement. Pour ce faire, il assume un point de vue, celui de la vulnérabilité, c'est-à-dire de l'exposition à la violence en ce qu'elle implique les subjectivités, les affects, les émotions et les pensées des personnes entraînées dans des situations de crise et de trouble.
Les sciences sociales peuvent-elles décrire la vulnérabilité, l'incertitude, la désaffiliation, la solitude ? De tels objets supposent pour l'anthropologie d'assumer sa prise de réel dans l'enquête ethnographique, dans l'interaction, à travers une approche pragmatique mettant en cause le statut du témoignage.
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