80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il devient urgent de vivre, de survivre au virus. Une onde de choc nous rappelle la fragilité de la vie, qui ne tient qu'à un fil. Cette réalité fait peur... Et pourtant, nous vivons tous une période indéfinie et imprévisible. Ce virus s'est immiscé dans nos vies déjà bien remplies, sans nous ménager et sans merci. Malmenés et impuissants face à l'imprévisible, nous perdons des êtres chers, des proches, des amis, sans même pouvoir les accompagner.À l'image d'une nature qui se venge, un virus est venu bousculer et faire basculer notre quotidien pour changer nos comportements et nos habitudes de vie. Le confinement a été, pour la plupart d'entre nous, comme une parenthèse nous invitant à la réflexion. Comment se réapproprier sa vie et l'honorer après cette épreuve ? Comment remercier les personnes du quotidien qui ont fait vivre la France pendant cinquante-cinq jours ?Notre responsabilité est grande aujourd'hui, soyons sûrs de vouloir agir pour notre bien-être, soyons sûrs qu'en respectant notre personne, nos femmes, nos enfants, et toute forme de vie sur terre, nous pourrons ensemble apprécier et remercier l'univers dont nous faisons partie. Semons les graines de demain, semons l'amour, la joie, la sérénité, le respect, l'écoute, l'accompagnement et l'entraide pour un monde meilleur. Nous avons cette responsabilité pour nous, pour notre planète, et pour l'avenir de nos enfants.Marie-Laurence Kléber est née en 1967. En 2016, elle publie son premier roman, Je vois l'avenir en vert, dans lequel elle dénonce le licenciement abusif dont elle a été victime. Devenue jardinière paysagiste, elle oeuvre dans les jardins de particuliers en transmettant ses valeurs de bienveillance et de respect de l'environnement. Aujourd'hui, elle publie son deuxième ouvrage, COVID-19 vue de l'intérieur, qui décrit en détail la pandémie mondiale que nous avons traversée et traversons encore.
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