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Dans toutes ses oeuvres (Anabase, Helléniques, Cyropédie, etc.), Xénophon (env. 428 - env. 355 av. J.-C.), Athénien mais Spartiate de coeur, n'a cessé de poser la question de la forme et de l'exercice du pouvoir et de dessiner la figure du chef. Les trois ouvrages ici traduits (pour la première fois en français depuis 1930) expriment l'admiration pour Sparte telle que le législateur légendaire l'a organisée (Constitution des Lacédémoniens), pour un grand roi et général spartiate (Agésilas, à la fois biographie et éloge), enfin pour une éventuelle « bonne » tyrannie (Hiéron, dialogue à la mode socratique).On a ajouté la traduction de la Constitution des Athéniens, pamphlet anti-démocratique qui est joint dans la tradition manuscrite au corpus des oeuvres de Xénophon et qui, daté du milieu du ve siècle av. J.-C., est en réalité l'oeuvre d'un « Vieil Oligarque », comme disent les historiens.Michel Casevitz, professeur émérite à l'Université de Paris X-Nanterre, a publié, entre autres, des éditions critiques, notamment de Diodore de Sicile et de Pausanias.
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