Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Pouvons-nous accepter la disparition et ce qui l'accompagne : la présence physique, les habitudes, les souvenirs communs ? Sans doute, car un immense espoir envahit ceux qui demeurent, celui d'entrer en contact avec leurs chers disparus. Car une nouvelle disponibilité, une nouvelle complicité, une nouvelle intimité peuvent s'installer. Et il devient possible de faire du défunt son confident. Et les photos des disparus donnent alors la sensation d'une présence attentive et protectrice.
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