"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Villa Médicis, promotion 1999. La vénérable institution romaine, nouvellement dirigée par un académicien d'origine africaine, accueille dix pensionnaires de disciplines variées : peinture, musique, danse, poésie, photographie, restauration d'oeuvres, architecture... Lors de la cérémonie d'accueil, on s'aperçoit de la disparition d'un tableau, une Vénus noire peinte par Zucchi au XVIe siècle. Le lendemain, on découvre le cadavre du jeune restaurateur, tué dans son propre atelier par le châssis à ressorts qui lui sert à désentoiler les oeuvres. Un policier romain est appelé à élucider l'affaire. Mais dès le lendemain, un autre cadavre apparaît, et le surlendemain encore, et chaque jour encore jusqu'au dernier des dix pensionnaires... Le roman ne se départit pas de son unité (de temps, de lieu, d'action). Tout en courant après ses suspects avec un temps de retard avant qu'ils ne deviennent des victimes, le policier flanqué de son ensorceleuse égérie, la femme du directeur, met en émoi toute l'académie. En écho du fameux Dix petits nègres d'Agatha Chrisitie, ce roman décrit une virevoltante et macabre danse autour de l'étrange Vénus noire qui en fournit l'argument et le ressort.
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