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L'ouvrage co-édité avec le Palais Fesch-musée des Beaux-Arts s'inscrit dans une collection dévoilant les chefs-d'oeuvre de peinture, sculpture, arts graphiques et objet d'art appartenant à la Ville d'Ajaccio. Il fait suite au premier tome, Chefs-d'oeuvre du Palais Fesch, Musée des Beaux-Arts, Ajaccio publié en juillet 2012.
Depuis sa petite maison natale, ne contenant ni tableau ni sculpture, rien ne prédisposait le jeune Napoléon Bonaparte à devenir le réformateur des Arts de la France du xixe siècle, à faire du Louvre le plus grand musée du monde, à créer les musées des Beaux-Arts de province et enfin, à promouvoir un « style Empire » pour sa propre gloire. C'est lors de la première campagne d'Italie (1796-1797) que le général Bonaparte s'ouvre véritablement aux arts. Il perpétue la tradition, initiée durant la Convention, des confiscations d'oeuvres dans les zones conquises afin d'enrichir les collections françaises.
Les collections d'oeuvres du Second Empire conservées au palais Fesch et au musée du Salon napoléonien de l'hôtel de ville ont pour origine le dépôt d'un portrait de Napoléon III d'après Winterhalter en 1861.
En 1839, le cardinal Fesch avait réuni un ensemble de 17 667 objets d'art dont environ 16 000 tableaux, ce qui représente la plus grande collection privée connue à ce jour, surpassant largement les collections des autres Napoléonides.
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