"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Si l'infanterie est la reine des batailles au début du XIXe siècle, le rôle des troupes montées ne saurait être négligé.Les cavaliers chargeant sabre au clair font partie de la geste napoléonienne au même titre que les colonnes de fantassins montant à l'attaque.Dans les grandes batailles, c'est souvent la cavalerie qui achève la défaite de l'ennemi, comme à Marengo en 1800, ou sauve l'armée d'un désastre imminent, comme à Eylau en 1807.Quelques grands noms émergent chez les nations belligérantes. Dans l'armée française, en plus de l'incomparable Murat, on raconte lors des veillées les exploits de Lasalle, Montbrun ou Kellermann fils, pour n'en citer que les plus célèbres.Nous racontons dans cet ouvrage, sans aucune prétention d'exhaustivité, les batailles et combats ayant impliqué la cavalerie des différentes nations engagées en Espagne et au Portugal entre 1808 et 1810. Les années 1811, 1812 et 1813, celles des grandes batailles de Fuentes de Onoro, d'Albuera, des Arapiles et de Vitoria, feront l'objet d'un autre volume de cette série dédiée aux aspects peu connus de l'épopée impériale.
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