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« C'est là que je l'ai vue » est un thriller dérangeant qui flirte avec une psychologie malsaine et qui danse avec la mort sans s'encombrer du salut de vos âmes. Carlo Sibille Lumia, journaliste et chroniqueur judiciaire, signe avec maestria son premier roman, dans la collection Black-Files, aux Éditions JDH.
Une jeune femme en robe blanche, chaussée d'escarpins, est retrouvée morte dans les bois messins du mont Saint-Quentin, par une froide journée de janvier. Son corps est atrocement mutilé. Un pieu de bois est profondément enfoncé dans son ventre. Et il semble que des bêtes sauvages aient fait festin de son cadavre.
L'autopsie révèlera que la victime était enceinte. Et que le ou les meurtriers ont été d'une violence extrême. Le meurtre de Cassandre apparaît à tous comme particulièrement odieux.
Plusieurs pistes sont très rapidement prises par les enquêteurs, parmi lesquels l'ex-petit ami de la victime, mal remis de leur rupture, ou encore son patron, un prédateur sexuel avéré, ou encore de dangereux criminels venus des pays de l'Est, sur qui justement Alexandre, son fiancé, journaliste, investiguait au moment du meurtre.
Alexandre et l'officier de police judiciaire, David, vont mener une enquête acharnée pour découvrir la vérité, bousculant tout sur leur passage, avec au fond de l'âme, un besoin de vengeance.
Mais si la vérité était encore plus sombre ?
Encore plus horrible que le crime ?
Et si la clé de l'énigme était là où nul ne penserait à chercher ?
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