L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
À six ans je commençai à prendre des leçons de dessin. Le jour du premier cours nous fêtâmes les Rois ; j'eus la fève, on me confia la couronne. Ai-je cru qu'un peintre était un élu, un roi ? Aujourd'hui j'en suis sûr.
Marc Boisseuil construit sa vie en amateur d'art ; sans frontières de temps, de médium s'attachant aux OEuvres comme à leurs créateurs. Bras droit du couturier Jean-Charles de Castelbajac durant plus de 15 ans, il livre ici un récit à la fois déférent et transgressif sur la scène artistique parisienne et internationale depuis les années soixante-dix. Il a ponctué ces quarante années de ses portraits. C'est le travail d'un conservateur du temps.
De Francis Bacon, Keith Haring, Robert Mapplethorpe, Jean-Michel Basquiat à Andrée Putman ou Andréa Branzi, tous les créateurs du monde de la mode, du design, de la photographie, de l'antiquité ou de l'art contemporain le fascinent, l'agacent, le stimulent. De son Limousin natal, il puise aux vertus d'authenticité qu'il sait faire rejaillir dans la description de ces fêtes mondaines et interlopes de Tanger, Marrakech ou Paris. Car c'est moins l'observation directe, mais une mémoire fidèle, qui fonde Ces archers qui tirent dans le noir, récit entre sincérités, badinages et « petits crimes ». Un livre rare du témoin d'une époque éblouie. Les « instantanés » d'un passeur d'art éclairé et clairvoyant.
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