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Prix du Polar 2017.
Séverin semble bien avoir raté sa vie : un divorce, une fille qui se passerait volontiers de son père, un boulot de flic sans intérêt et des troubles de la personnalité qui ont achevé de faire le vide autour de lui. Lorsqu'il se rend sur la première scène de crime de sa carrière, son seul désir est de se débarrasser de l'affaire au plus vite. Mais il va très vite comprendre que ce meurtre le concerne bien plus qu'il ne s'y attendait. Une trace génétique est trouvée sur les lieux du crime et l'assassin est tout désigné. Mais pour Séverin, il est hors de question d'accepter l'évidence. Déterminé à retrouver le véritable tueur, il décide de suivre son propre instinct. Jusqu'à la plus effrayante des vérités.
Prix du Polar 2017.
Séverin, flic dépressif et bipolaire, écrivain à ses heures perdues, navigue à vue entre Sarah son ex-femme et mere de Gabrielle, Nathalie sa concubine , Alex son adjointe, sans parler de Gabrielle, sa fille, en pleine crise d’adolescence . Un double meurtre est commis au début du roman, c’est Séverin qui est chargé de l’enquête… Et il ne tarde pas à découvrir que Sarah, qui a brusquement disparu, est la coupable que tout désigne, jusqu’à son ADN.
Pour un premier roman c'est pas mauvais malheureusement rien d'original, il n'y a pas vraiment d'intrigue on se promene avec Severin anti pathique au plus haut point avec son entourage comme avec les autres qui nous balade dans son enquete, il rencontre quelqu'un blablabla et ainsi de suite , on distille les infos au compte goutte concernant Sarah et les informations sur le tueur pour nous faire tenir en haleine mais il ne s'y passe pas grand chose avant la fin et meme si celle ci concernant Sarah peut surprendre l'identite du tueur n'ayant que deux possibilité des le depart ne se reduira qu'a une seule a la moitié du livre ...
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la vie de Séverin n’est pas exaltante : peu ambitieux, divorcé, en bisbille avec sa fille adolescente, apprenti écrivain laborieux et pour couronner le tout, bipolaire. Il est policier, mais c’est un petit policier en uniforme, le genre qui va sur les accidents, qui manipule les radars et qui sécurise sur les scènes de crimes pour laisser après la place aux cadors de la Crim’, et se faire reprocher dans la foulée d’avoir déplacé un brin d’herbe ! Un peu à cause de la maladie, il a un caractère de cochon, ce qui ne facile en rien ses relations sociales. Ce jour là, il est le premier sur une scène de crime, un mort qui lui est inconnu. Mais cette scène de crime va changer sa vie. Très vite, il apprend que des traces ADN ont été retrouvées sous les ongles de l’inconnu, et cet ADN correspond à quelqu’un qui lui est très proche. Alors, clandestinement, en marge de l’enquête officielle, ce petit flic sans pouvoir autre que sa carte et son culot, enquête, principalement pour disculper le porteur d’ADN. Il commence par tirer un petit bout de ficelle sans s’imaginer une seconde ce qui va lui tomber dessus. Le tout premier roman d’un auteur que je ne connaissais pas, Christophe Vasse, ne manque ni de qualités, ni d’intérêt. Il a d’abord une double bonne idée : choisir pour héros un flic en tenue, un « bleu » qui, dans les autres polars ne sert que de figurant et de surcroit, et l’affubler d’un caractère complexe, fort peu sympathique. Du coup, nous voilà avec un quasi anti héros qu’on adorerait détester ! L’intrigue est claire, facile à déchiffrer et on tourne les pages avidement, pressé de comprendre l’incompréhensible. Le style est fluide, agréable à lire et on n’a pas le temps de dire « ouf » qu’on est déjà au bout des 41 chapitres ! Le petit souci, c’est que le nœud de son intrigue (dont je ne dirais rien, évidemment) n’est pas follement inédit. D’autres avant lui, comme Ann Morgan, Jacques Expert ou Barbara Abel on déjà surfé sur le même thème. Dans le cas de Barbara Abel, la ressemblance entre les deux intrigues est notable. Du coup, comme on comprend assez vite, dans le premier tiers du livre, ce qui est sous-jacent dans cette histoire étrange, on est quand même un poil déçu ! Je ne peux pas dire qu’on croit à tout, loin de là, surtout à la fin ou le coup de théâtre final est assez énorme (et en plus, on l’a quand même un peu senti venir) et j’ai rétrospectivement quelques doute sur la crédibilité de l’ensemble. La fin est d’une noirceur assez étonnante et pas très fréquente dans ce genre de thrillers, elle est presque déprimante et je ne m’y attendais pas. Pris dans sa globalité, « Celle qui ne pleurait jamais » (joli titre qui est expliqué assez douloureusement dans ce même premier tiers) ne manque pas d’intérêt et de qualités prometteuses, notamment dans la construction des personnages et des caractères. Comme il s’agit d’un premier roman, on a envie d’être indulgent avec cet auteur qu’on espère retrouver un jour, avec peut-être une intrigue un peu plus crédible et originale.
Wahou! Je suis secouée. C'est très bien écrit, on rentre tout de suite dans l'intrigue et je trouve le titre bien trouvé.
Christophe Vasse conduit habilement l'intrigue et on ne voit rien venir.
Je recommanderai ce polar sans hésiter.
très bon polar, les personnages sont très attachants, on ne devine pas la fin.
Très bien écrit, pour un coup d'essai c'est un coup de maître
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