Causes entendues

• Date de parution : 15/12/2010
• Editeur : Edilivre
• EAN : 9782812135842
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 428
• Collection : CLASSIQUE
• Genre : Sciences politiques
• Thème : Essais Sciences politiques
• Prix littéraire(s) : (-)

Au rendez-vous du « grand bal du Cinquantenaire » des Indépendances (des années 60) des pays africains, la Mauritanie va boucler son demi siècle de mésaventures, au 28 de ce mois de novembre 2010. « CAUSES ENTENDUES » est un essai modeste d'analyse politique, économique et socioculturelle. Aigri... Voir plus

Au rendez-vous du « grand bal du Cinquantenaire » des Indépendances (des années 60) des pays africains, la Mauritanie va boucler son demi siècle de mésaventures, au 28 de ce mois de novembre 2010. « CAUSES ENTENDUES » est un essai modeste d'analyse politique, économique et socioculturelle. Aigri de constater la dégradation continue des conditions après le régime de Mr Moctar Ould Daddah, l'auteur déplore la totale désobligeance de la part des dirigeants et la grave capitulation des peuples, tel le mauritanien. Cet ouvrage rappelle entre autre, les rapports Mauritanie-France et la place du pays de son auteur sur l'échiquier des relations de coopération internationale. Ambitieux comme curieux, M. KANE rêve de la réalisation du devenir incontesté de la Nation Mauritanienne toute entière. A cette faveur, il semble s'oublier lui-même : la meilleure manière selon lui, de ressortir les valeurs naturelles de la devise nationale : « Honneur Fraternité Justice » qui se lisait sur le front de chacune des figures emblématiques à lui. Il découvre malgré les dispositions, les dispositifs, les compétences et les capacités, avec les moyens potentiels (ensommeillés), que son pays se laisse classer dans les pays les plus pauvres, les dirigeants se bousculant au Pouvoir, n'arrêtent pas encore d'offrir des scènes à des populations qui n'ont pas fini d'être pelés : « celui qui n'est pas dans le combat est inflexible ! ». L'instabilité terrasse le patriotisme et sans la motivation de chacun, ces conditions qui persistent, ne présagent sûrement pas une évolution qui conviendrait à tous les citoyens, à lui de conclure : le changement tarde à venir !