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Werner Bischof. A propos de lui, il est juste de parler de destin plus que d'une carrière. Ce brillant élève des Arts Appliqués de Zurich, doué dès l'adolescence pour les arts plastiques, qu'il s'agisse de dessin ou de photographie, a poursuivi, durant sa courte vie, une double quête. Celle d'un certain ordre des choses, magnifié par un sens de la lumière constamment contrôlée, celle aussi d'un ordre social perturbé par les guerres, qui exclurait l'injustice et la misère dans un monde perturbé par les guerres. La revue Du l'a aidé dans cette démarche qui l'a mené de l'Europe centrale au Japon où il a trouvé une nature et une culture qui correspondaient à ses voeux les plus profonds. Ses images d'un chaos quasi universel, de la famine en Inde jusqu'au Pérou où il est mort dans un accident, sont célèbres. Il avait 38 ans. Mais Werner Bischof était déjà l'un des grands témoins de son temps et la chance a voulu que Marco prenne en charge la notoriété de son père, et assure la pérennité d'une oeuvre exceptionnelle. Ce livre se veut la chronique d'une vie exemplaire.
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