Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
Georges Perec s'impose aujourd'hui de plus en plus comme un « contemporain capital », pour reprendre le mot de Malraux à propos de Gide. « Contemporain capital posthume », dans la mesure où la fortune de son oeuvre n'a cessé de croître depuis sa mort prématurée, en 1982.
À la suite des numéros 9 (Le Cinématographe), 10 (Perec et l'art contemporain) et 11 (Filiations perecquiennes), qui avaient permis de mesurer le rapport de Perec à diverses pratiques extra-scripturales (cinéma, arts plastiques, musique) ou sa résonance dans l'art et la littérature d'aujourd'hui, le numéro 12 des Cahiers Georges Perec souhaite interroger la fécondité du travail perecquien sur l'espace et la manière dont il innerve actuellement certaines parts de ce que l'on pourrait appeler les sciences et arts de l'espace (géométrie, topologie, géographie, cartographie, architecture, urbanisme, arts de la ville, typographie.) ou y trouve écho.
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