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André Raimbourg, dit Bourvil, avait tous les talents. Du comique paysan des débuts à l'immense vedette du Corniaud et de la Grande Vadrouille, et au commissaire glacé du Cercle Rouge, sa carrière d'acteur est impressionnante.
Mais pour le public, Bourvil n'était pas une star, encore moins une idole. II était mieux et plus rare : il était un ami, un complice qui, par la magie d'une chansonnette, d'un film ou d'une opérette, entrait dans la vie quotidienne des Français. Au moment de sa mort, on a très justement écrit qu'il avait été le cousin de tous.
Bourvil est mort le 23 septembre 1970. Depuis vingt ans, bien des artistes, acteurs ou chanteurs, sont enterrés au fond des mémoires. Pas Bourvil. De lui, les Français parlent encore au présent, avec tendresse...
Élizabeth Coquart et Philippe Huet, journalistes et écrivains, ont retrouvé les témoins de son enfance normande et de ses débuts dans le musichall. Leur livre rend enfin à Bourvil l'hommage qu'il mérite.
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