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Blessures de guerre ; comment l'affaire de la maison des têtes de Toulon a été étouffée pour raisons d'état

Couverture du livre « Blessures de guerre ; comment l'affaire de la maison des têtes de Toulon a été étouffée pour raisons d'état » de Clanet Max aux éditions Le Spot
  • Date de parution :
  • Editeur : Le Spot
  • EAN : 9782954123264
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Le 15 février 1989, une violente explosion détruit un bâtiment de cinq étages dans le vieux Toulon. Le bilan est de 13 morts et 32 blessés. L'immeuble était baptisé « Maison des Têtes » en raison de mascarons en bronze posés sur le fronton des fenêtres. A l'époque, le drame émeut la France... Voir plus

Le 15 février 1989, une violente explosion détruit un bâtiment de cinq étages dans le vieux Toulon. Le bilan est de 13 morts et 32 blessés. L'immeuble était baptisé « Maison des Têtes » en raison de mascarons en bronze posés sur le fronton des fenêtres. A l'époque, le drame émeut la France entière. Pourtant, au terme d'une enquête de 6 ans, la catastrophe ne sera jamais officiellement élucidée. En 2009, un journaliste reprend les investigations à la demande des familles de victimes. Il accède à des documents inédits et retrouve des témoins jamais entendus. Le constat est accablant : cette enquête jamais conclue constitue incontestablement un déni de Justice. Dès les premières heures de la tragédie, une effroyable manipulation a été mise en place pour noyer l'affaire : des inconnus visitent les corps des victimes pendant la nuit, leurs vêtements sont détruits, des témoignages sont occultés, les preuves disparaissent, un « expert » échafaude l'hypothèse d'un suicide par le gaz qui ne repose sur aucun élément sérieux... Manifestement, l'enquête se déroule comme si « on » cherchait à brouiller les pistes et à enterrer l'affaire. Au bénéfice de qui ? Une réponse semble se dessiner : ce jour-là, un engin militaire français ou étranger serait tombé sur la Maison des Têtes et le dossier aurait été verrouillé pour raison d'État. Une fois de plus, le sceau du Secret-Défense semble planer sur une affaire judiciaire.

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