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Le biomimétisme bénéficie d'une forte reconnaissance médiatique et institutionnelle depuis le début des années 2010. Mais en quoi ce concept - consistant à s'inspirer de la nature pour écoconcevoir des produits, des procédés ou des systèmes, dans le respect des limites planétaires - pourrait-il nous aider à faire face à cette crise de notre rapport au vivant, dont la Covid-19 n'est qu'un symptôme ? Car selon Emmanuel Delannoy, il n'y a pas de crise du vivant : il n'y a qu'une crise de notre relation au vivant. La pandémie révèle ainsi la difficile intégration de nos organisations sociales, économiques et politiques au sein de la toile du vivant planétaire - que nous appelons « biodiversité » sans toujours comprendre que nous en sommes l'un des éléments.
Après une première partie consacrée à l'étude des limites et des potentiels écueils de notre conception actuelle de la transition écologique, l'auteur décrit les conditions, valeurs et principes d'action d'une approche éthique du biomimétisme, qui contribuerait à l'émergence d'un nouveau rapport au vivant, voire d'un nouvel imaginaire collectif - ce « récit » dont les sociétés ont besoin pour se cimenter et les civilisations pour évoluer.
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