80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'agroalimentaire, premier destructeur de biodiversité arrive en tête des activités émettrices de gaz à effet de serre. En cause, un modèle productiviste fondé sur l'hyperconsommation et la rentabilité, responsable d'une perte de valeur écologique, sanitaire et sociale. Un système perdant-perdant qu'il est urgent de réformer. Le bio et son cahier des charges excluant pesticides chimiques et OGM, respectueux de la biodiversité et du bien-être animal, semble offrir un modèle alternatif. Pourtant, les entreprises respectueuses de l'environnement, du consommateur ou producteur et centrées sur le local butent sur un plafond de verre. Cette inertie n'a pourtant rien d'une fatalité, comme l'illustre l'aventure « Biocoop », ouvrant la voie d'un modèle vertueux susceptible de devenir majoritaire. Pierrick De Ronne est le président de l'entreprise "Biocoop" depuis 2019.
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