Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Pour écrire son étude sur Mendelssohn-Bartholdy, Rudolf a besoin d'être seul chez lui, à la campagne. Il a attendu avec impatience le départ de sa soeur qui était venue passer quelques jours avec lui. Mais n'est-ce pas lui qui l'avait invitée, justement parce qu'il n'arrivait pas à se mettre au travail ? Après son départ, il ne parvient pas davantage à écrire. Il sent partout sa présence, envahissante, il entend son discours, protecteur, ironique, provocant. Pour s'échapper, il part à Palma où il retrouve le souvenir atroce d'un drame qu'il a connu quelques années auparavant ; un suicide, un fait divers d'une banalité navrante. Thomas Bernhard construit une machine qui fonctionne à la perfection et se resserre comme un garrot : impossibilité d'être seul ou de ne pas l'être, impossibilité d'écrire et de renoncer à écrire...
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