80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
De nombreuses expositions ont mis en scène la Rome fastueuse et virtuose du xviie siècle, héritière de l'Antiquité, au service du pouvoir triomphal des Papes. Mais l'exposition « Bas-fonds du Baroque. Rome des vices, de la misère et des excès », qui présente environ soixante-dix oeuvres créées à Rome durant la première moitié du Seicento, montre, pour la première fois, l'envers du décor de cette Rome splendide : non plus la Rome du « beau idéal », mais celle « d'après nature ». Car cette autre Rome - la Rome « grossière et commune », celle des vices, de la misère et des excès - fut à l'origine d'une production artistique inédite et stupéfiante, tant par sa diversité, ses paradoxes et ses inventions.
Produit par l'Académie de France à Rome - Villa Médicis et Paris Musées - Le Petit Palais - Musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, l'exposition présente tableaux, dessins et estampes d'artistes italiens (le Caravage, Manfredi), français (le Lorraine, Vouet), hollandais (van Baburen), flamands (Miel) et espagnols (Ribera).
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