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«?Huit heures quarante. Un commandement retentit?: Baïonnette au canon?! Avec quel tremblement nerveux nous la tirons de son fourreau pour la fixer au fusil?!?» A l'origine de ce livre, il existe un cahier d'un peu moins de cent pages soigneusement rédigées à l'encre bleue par Charles Davienne, un jeune typographe natif de Laon et soldat de la classe 1914. Dans ce qu'il appelle son « journal de guerre », il souhaite transmettre à sa famille un témoignage « juste et vrai » de son expérience de combattant. Ce texte, qui évoque essentiellement les deux premières années du conflit, met en lumière le destin de cette classe 1914 qui, plongée brutalement dans une violence guerrière insoupçonnée, a payé un lourd tribut au premier conflit mondial. Vingt ans est un âge mythique entre tous, celui de tous les possibles. Mais avoir 20 ans en 1914 aura été pour toute une génération une véritable malédiction. Après avoir consacré un premier livre à la vie des soldats français retenus prisonniers dans les camps allemands, l'auteur s'est intéressé, dans un second ouvrage, au sort réservé aux populations civiles dans les territoires envahis durant la Grande Guerre. Dans cette nouvelle publication, il donne la parole à ceux dont les vingt ans ont été marqués par l'entrée en guerre de la France en août 1914...
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