Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Paris convertit ses expositions universelles (1855, 1867, 1878, 1889, 1900) en vitrine du progrès industriel, des avancées commerciales, des découvertes scientifiques et des avant-gardes artistiques. La vanité des nations illumina la nouvelle société bourgeoise et industrielle issue des révolutions du milieu du xixe siècle. Les expositions devinrent des instruments de propagande de nouvelles valeurs. Leur visite révèle une histoire et une géographie imaginaires.
Les pavillons justifient le monde colonial, hiérarchisé en fonction du prestige de chaque représentation nationale. La collection des stéréotypes nationaux fournissait un spectacle culturel qui s'efforçait de ne pas transformer l'Espagne en un pays-musée au sein de l'Europe industrielle, jusqu'à ce que le pavillon de la République introduise l'architecture avant-gardiste au sein de l'Exposition internationale de 1937.
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